Le meilleur de 2011 en 20 romans

15 romans français et 5 romans étrangers composent cette sélection 100% subjective de livres parus au cours des douze derniers mois et classés ici par… longueur de titre !

De quoi rattraper un éventuel retard (cliquez sur les titres), et constater que 2011 aura été riche en découvertes littéraires.

 

Skoda, Olivier Sillig 

Cleer, L. & L. Kloetzer

Le dîner, Herman Koch

Un jour, David Nicholls

A la folle jeunesse, Ann Scott

La petite, Michèle Halberstadt

La poussette, Dominique Rivaz

Les champs de Paris, Yann Suty

Rossmore Avenue, Vanessa Caffin

La femme et l’ours, Philippe Jaenada

La part de l’homme, Kari Hotakainen

Le plus bel âge, Joanna Smith Rakoff

Des vies d’oiseaux, Véronique Ovaldé

Le silence de ma mère, Antoine Silber

Et rester vivant, Jean-Philippe Blondel

Ce que j’appelle oubli, Laurent Mauvignier

L’écrivain de la famille, Grégoire Delacourt

D’autres prendront nos places, Pierre Noirclerc                     

Je pars à l’entracte, Nicolas d’Estienne d’Orves

Et surtout, ne cherchez pas à me joindre !, Heleen van Royen

 

21 réflexions sur “Le meilleur de 2011 en 20 romans

  1. Ben oui !
    pas lu :

    Skoda, Olivier Sillig (sur LAL)

    Cleer, L. & L. Kloetzer

    Un jour, David Nicholls

    A la folle jeunesse, Ann Scott

    La petite, Michèle Halberstadt (sur LAL)

    La poussette, Dominique Rivaz (sur LAL)

    Les champs de Paris, Yann Suty

    Rossmore Avenue, Vanessa Caffin

    La part de l’homme, Kari Hotakainen

    Le plus bel âge, Joanna Smith Rakoff

    Le silence de ma mère, Antoine Silber

    Et rester vivant, Jean-Philippe Blondel (sur LAL)

    Ce que j’appelle oubli, Laurent Mauvignier (sur LAL)

    L’écrivain de la famille, Grégoire Delacourt (sur LAL)

    D’autres prendront nos places, Pierre Noirclerc (sur LAL)

    Je pars à l’entracte, Nicolas d’Estienne d’Orves

    Et surtout, ne cherchez pas à me joindre !, Heleen van Royen

    Enfin, en fait, ça aurait été plus vite si j’avais noté ceux qui j’ai lus !!!!

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  2. En effet j’ai lu le Sil…ber … et je n’ai pas lu le Mauvignier , oubli que je vais réparer dès ce soir: Il est là juste devant moi et ne fait que 60 petites pages en gros caractères. Et après, j’ai l’impression qu’il faudra que je lise un Jaenada pour faire connaissance et puis au moins une partie de ceux que j’ai achetés en 2011 dont: Le système Victoria, Retour à Killybegs, Du domaine des murmures … ce n’est plus une PAL ni une LAL, chez moi c’est une BAL (bibliothèque à lire !)

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  3. Pour Géraldine, je joins un lien sur un billet de Stéphanie Joly à propos de Marien Defalvard, billet dans lequel elle a cette phrase formidable:
    « on ne doit jamais confondre le narrateur et l’auteur. »
    J’ai tellement apprécié l’article, alors que l’auteur est si désagréable, que j’ai débattu sur le sujet avec Stéphanie, puis que j’ai fini par acheter le livre (mais pas encore lu).

    http://www.pariscilaculture.fr/2011/11/du-temps-quon-existait-marien-defalvard/

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    • On ne doit certes pas confondre… Mais il est parfois difficile de faire abstraction, il y a toujours un a priori, qu’il soit positif ou négatif, dès lors qu’on connaît l’auteur !

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  4. Intéressante, cette liste. Elle me permet de découvrir pas mal d’auteurs. Lu que Skoda, très très bien, en plus Sillig n’est pas du genre je-me-la-pète-bon-sang-que-j’écris-bien…

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  5. Sans doute. Il a un joli site internet, cela dit, mais je vais arrêter de dire du bien du seul auteur de la liste que j’ai lu, les 19 autres m’attendent 🙂

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